lundi 6 mai 2013

Haïkus.

Un loup blanc se lève
Et il scrute l'horizon
Et il fond sur l'ombre.

Le ciel devient noir
Il fait spécial au-dehors
Je sors de la lumière.

La ville est bien froide
Le métal y roule et fuit
Nous dormons à deux.

Ton cou est poète ;
Il attire, doux et paisible,
Mes mains amoureuses.

La vie est lumière
Doucement, nous approchons
De l'étreinte immense.

Ton autre chemin
Et le mien, bien différent
N'ont rien à se dire.

Le bois vagabond
Roule des yeux las sur l'onde
Et le flot l'emporte.

Tu es important ;
Le E qui se croit trop faible
Mais le G puissant.

Tes yeux sont mystère
Mais ils brillent intensément
Ils sont deux beaux rêves.

3 commentaires:

  1. Tes haiku sont magnifique!(sauf Tu es important ;
    Le E qui se croit trop faible
    Mais le G puissant, qui me plait moins)
    Ils me font penser à un livre magnifique, Neige, ecrit par Fermine.

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    1. Celui qui te plaît moins, peut-être ne le comprends-tu pas ! Il m'a été inspiré par ce texte : http://somewheresomewhereelse.skyrock.com/3160108362-Alphabet.html ; peut-être te semblera-t-il plus compréhensible ;)

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